Interview de Laura Lecomte qui a intégré la société BIR il y a 2 ans en qualité de conductrice de travaux.
Q : Votre formation initiale d’architecte d’intérieur ne vous prédestinait pas à une carrière dans les TP
Laura : Non effectivement. J’ai complété cette qualification par un master en Génie civil, des stages et une première expérience dans le domaine du chauffage urbain. Quand j’ai vu qu’une opportunité s’offrait à moi chez BIR, j’ai immédiatement postulé.
Q : Pourquoi BIR ?
Laura : Parce que c’est une société à la réputation exceptionnelle que ce soit d’un point de vue professionnel (la qualité d’expertise, l’excellence des réalisations, la grande satisfaction clients) ou que ce soit par l’image qu’elle renvoie (esprit familial et convivial, entreprise à taille humaine, évolution interne). Y travailler avait du sens pour moi.
Ce que j’aime dans mon métier, c’est la diversité des missions. C’est mener un projet de A à Z. De la technique au contractuel, en passant par le management sans oublier l’aspect financier. Il s’agit d’un poste très complet dans lequel on ne s’ennuie pas ! C’est un métier de passionnés.
Q : Expliquez-nous vos missions au quotidien ?
Laura : Les journées sont très variées et rythmées. Une partie de mon temps est consacrée aux chantiers, sur le terrain pour : les réunions de préparation avec les différents interlocuteurs (client, mairie, concessionnaires, maîtrise d’œuvre …), les phases de démarrage avec les équipes, les réunions hebdomadaires de suivi de chantier.
Une autre partie d’une « journée type » est utilisée pour programmer et organiser les travaux avec les besoins humains et matériels appropriés, de trouver des solutions techniques afin d’optimiser les travaux et par conséquent les coûts financiers.
Cela peut aussi prendre la forme de demandes d’arrêtés ou d’accès, de commandes de fournitures et de négociation de prix, de choix des engins de chantier en fonction des tâches et des contraintes.
Une partie se fait en amont (phase de préparation) mais aussi, tout au long du projet en collaboration avec le chef de chantier. La gestion des imprévus est un point important car même avec une bonne préparation, on rencontre des aléas, il s’agit donc d’être réactif.
Q : Quelles qualités essentielles pour devenir conducteur de travaux ?
Laura : Il n’y a pas un seul profil ou un unique parcours pour arriver au poste de conducteur de travaux, notamment dans les réseaux.
Je pense qu’il faut un peu de curiosité intellectuelle, de la méthode, de l’organisation et surtout une sensibilité sur la dimension humaine. L’aspect management est indissociable de notre métier. Nous sommes dans une activité où on ne fait rien tout seul et c’est le concours de toute l’équipe qui rend les projets possibles.